À mille lieues des terrains où s’affrontent avec le même goût prononcé pour le récidivisme quadriennal les nations les plus qualifiées pour le massacre du gazon et des ballons les plus inoffensifs, le petit pingouin que je suis coule des jours heureux libéré du petit écran. C’est donc à l’abri du vacarme des vuvuzelas, ces tapageuses armes de déconcentration massive que l’on aurait dû inventer avant l’occupation