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On ne se touche pas le Kosovo !
Je ne remercierai jamais assez Giangiacomo pour avoir déformé avec son accent italien sa volonté exprimée en langue française d’empêcher tout ce qui pourrait causer préjudice à la région du Kosovo. C’était il y a maintenant trois ans, et le simple fait de citer cette phrase provoque en moi l’hilarité. Ce n’est pas pour rien…