Fête l’aïd pas la guerre


Que mon inquiet lectorat se rassure, suite à  ma précédente mésaventure avec les services postaux humains, j’ai fini par trouver malgré tout un convoyeur tout aussi humain que les précédents mais d’une renommée bien supérieure pour ce qui est des paquets à  délivrer. Qui donc ?

Hé bien, il s’agit de l’inusable père Noël qui m’a paru des plus qualifiés pour ce qui était de la cheminée ((« De l’acheminer. », aurais-je dû dire ?)) .

Étant donné la proximité avec les fêtes de fin d’année, je peux très bien conjuguer mon présent au futur d’un trait rieur. Bref, ceci est une chronique festive et fictive, garantissant une fois de plus la paix dans le monde ((Mais de façon non remboursable au cas où vous seriez déçus.)) , et des dizaines d’années de bonheur si vous la retransmettez par courriel. ((Sous peine de quoi, treize baleines – pas une de plus pas une de moins – mourront aussitôt dans d’atroces douleurs. Non, c’est évidemment faux, cela relève de la légende urbaine.))

Je vous laisserai vaquer à  vos saines occupations comme fêter Hanoucca en faisant la nouba, la bouche pleine de nougat. Ou en laissant d’autres se soumettre joyeusement à  leur Dieu, car il n’y a guère que certains êtres humains pour s’infliger une telle douleur avec constance en sacrifiant annuellement un mouton plutôt que leur fils, chacun à  sa façon : en rôtissoire ou bien à  la Marat ((C’est à  dire dans la baignoire.)) , comme en ont été accusées par un homme politique célèbre les familles musulmanes qui résident en France.
Donc faites l’aïd pas la guerre, telle est la recommandation de mon cousin hippie, répondant au doux nom d’Acidé, inutile de me demander pourquoi.


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