Yes, weekend !


Félicitations au nouvel élu au poste de quarante-quatrième président des États-Unis d’Amérique, qui aura pour redoutable tâche de faire moins pire que son prédécesseur George UU Bush. Son appel au changement ayant donc été entendu par son peuple, à  l’image du président français actuel, il reviendra aux bipèdes vivant outre-Atlantique de vérifier que leur président tient bien sa promesse de changement.

Avec une devise aussi prometteuse que « Vote for change« , ses électeurs ((Je ne citerai pas ses électrices puisqu’il est sûr et certain que le courant passe très bien entre elles et lui.)) sont en droit d’attendre de lui qu’il leur rende la monnaie de la pièce et s’attèle à  ce travail avec le même sérieux que les bureaux du même nom, dont quelque chose me dit qu’ils sont rarement pris de cours en ce qui concerne les devises. Dans le cas contraire il sera alors possible de dire que son propos était biaisé ((Billet zé ?)) , mais je me dois d’éviter toute spéculation hâtive.

En attendant le vingt janvier deux mille neuf, date à  laquelle Barack Hussein Obama entrera en fonction, je lui souhaite de se montrer moins ridicule que le quarante-troisième président a pu l’être ((Soyons honnête, je devrais écrire que George UU Bush peut encore être plus ridicule que d’habitude dans les dernières semaines de son mandat.)) , même s’il existera toujours des gens comme Karl Rove pour chercher à  nous prouver le contraire. Cependant, je vous rassure immédiatement mon cher lectorat, si le futur locataire de la Maison blanche venait à  montrer des signes de bêtise avancée, c’est avec grand plaisir qu’à  l’instar des autres créatures politiques de la scène internationale que je les relaterai ici.

Sur ce, monsieur Pingouin se permet de vous souhaiter une bonne fin de semaine.


6 réponses à “Yes, weekend !”

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